Car outre les salons de massage, les sorties en boîte et tout le tralala je suis aussi venue en Chine pour étudier (je vous le donne dans le mille) l’idiome local (enfin tout est relatif). Et là très très bonne surprise. Les cours de chinois que je suivais à Sciences-Po n’étaient pas vraiment folichons et je m’attendais à beaucoup m’embêter ici aussi. D’autant plus que j’ai décidé de rester en niveau C soit un niveau légèrement plus élevé que le mien. Ce qui finalement n’est pas le cas.
Tout d’abord l’apprentissage du chinois est divisé en plusieurs cours : écoute, expression écrite, expression orale, grammaire et vocabulaire. Nous avons donc plusieurs profs et à part un digne représentant de la gente masculine il s’agit uniquement de femmes, toutes absolument charmantes. Par ailleurs bien que nous ayons environ 14h de cours par semaine la journée est courte (4h ou 6h de cours par jour) et chaque cours faisant deux sessions de 45 minutes entrecoupées de 10 min de pause la journée passe très vite (je pense que c’est surtout dû au fait que je suis habituée au format de 2H de cours d’une traite ; le retour à Sciences Po risque par conséquent d’être dur). Après tout n’est plus que travail personnel. Et c’est d’ailleurs là que ça coince un peu plus. Mais promis je m’y mets très sérieusement avec les vacances !
Je voulais aussi suivre des cours de droit chinois en anglais en tant qu’auditeur libre mais je n’ai toujours pas compris où se trouvait la Law School de Fudan (sachant que l’université dispose de plusieurs campus et que les sites internet ou les plans en chinois j’y comprends pas encore grand-chose). Donc je retenterai ma chance au semestre prochain.
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